Bonne nouvelle, les droits ont été rachetés pour le grand écran, voici donc le premier volet "Miséricorde".
Carl Morck n'est pas au mieux de sa forme : sa femme l'a quitté, ne veut même plus répondre à ses appels, et côté boulot ce n'est guère mieux. Une décision impulsive lors d'une intervention et le voilà avec un collège en moins et son meilleur ami paralysé. Relégué au sous-sol du commissariat dans un obscur et nouveau département, lui incombe désormais la tâche d'archiver de vieilles affaires. Pire, on lui impose Hafez el Hassad, un assistant d'origine syrienne aux goûts musicaux aussi bruyants que son café est infect. La cohabitation promet.
Une affaire vieille de cinq ans l'intrigue : la disparition d'une jeune polititienne, conclue en suicide mais sans corps retrouvé. Oh oh, pas normal cela, Carl décide envers et contre toute hiérarchie de rouvrir l'enquête. La suite, à vous d'aller voir.
L'adapation est est très plaisante : on retrouve la même complicité qui faisait le charme du roman dans ce duo que tout sépare. Carl Morck est un écorché vif, taciturne, têtu et bourru, ce qui en fait d'ailleurs un enquêteur hors pair. Quant à Assad, c'est encore tout un mystère, mais on le devine courageux et plein d'empathie pour autrui. Vivement la suite "Profanation", sortant d'ailleurs ces jours-ci car on devrait y retrouver un troisème personnage haut en couleur.
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